Los Angeles is a city I discovered by chance. An urban sprawl of glaring light that seems to menace color and matter. The city’s chromatic register emphasize the contrast between prosperity and pathologic destitution. Its convolution of streets, roads and highways underscores a general sense of arbitrariness. The city’s palm trees provided a playful vehicle for grasping the energy and disparity of my initial impressions.
Los Angeles m’a arrêté l’an dernier sur la route du Mexique. Par sa lumière, qui menace couleurs et matières. Ses couleurs, qui oscillent entre plénitude et maladie. Ses rues, ses routes, ses highways qui donnent une présence au hasard. Les palmiers restent le moyen le plus désinvolte de retrouver l’énergie et l’arbitraire de ces premières impressions.